mardi 13 décembre 2011
L'égalité, c'est pas sorcier ! à la fête de la ville de Saint-Denis (1er octobre 2011)
L’exposition « L’égalité c’est pas sorcier ! » a permis de donner un véritable contenu au stand de la mission droits des femmes dans le cadre de la fête de la ville de Saint-Denis. Parallèlement, le quizz proposé en complément de l’exposition a permis de faire une animation et d’avoir de véritables échanges avec la population tout au long de la journée.
Il y a eu une grande diversité de public accueilli.
80 signatures ont été recueillies pour la pétition « que les hommes et les femmes soient belles ».
Par ailleurs l’association dionysienne "Mots et regards" a récolté des paroles d’habitant-e-s autour de l’égalité femmes-hommes et des solutions préconisées par le public pour solutionner le problème de domination masculine.
Une restitution de ces paroles sera présentée en décembre car l’association continue son travail de récoltes à l’échelle du territoire.
Marie Leroy
Chargée de mission aux droits des femmes
vendredi 16 septembre 2011
Où voir l'exposition ?
Nîmes, 3 mars 2012
Pour plus d'information, prendre contact avec la SLVie Costières
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Paris, du 19 octobre au 3 novembre 2011
A la librairie Violette and Co.
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Unieux, du 8 au 28 octobre 2011
A la médiathèque de la ville
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Saint-Denis, 1er octobre 2011
Lors de la fête de la ville
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Maisons-Alfort, 14 septembre 2011
A la Maison de la culture
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Saint-Denis, le 31 mai, de 9h à 17h
A la bourse du travail de Saint-Denis, 9/11 rue Génin.
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Paris, le 25 mai de 18h à 21h
A la Mairie du 12e arrondissement de Paris, salle des fêtes
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Saint-Denis, le 13 mai de 9h à 19h
A l'hôtel de ville de Saint-Denis, salle du conseil municipal
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Sèvres, du 10 mai au 16 mai 2001
Au foyer éducatif La Rose des vents : 24, avenue de la division Leclerc 92 310 Sèvres
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Montreuil, 5 mai 2011
A l'occasion d'un festival de théâtre-forum joué par des lycéen-ne-s de Montreuil sur l'égalité filles-garçons, la Cie Désamorces présente l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" à la Maison de l'Arbre : 9, rue François Debergue 93 100 Montreuil.
Entrée libre.
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Pierrefitte-sur-Seine, du 4 au 9 avril 2011
A l'occasion de la semaine contre les discriminations, du 4 au 8 avril 2011,
l'association "Femmes pierrefittoises" présente l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" au Centre social et culturel Maroc-Châtenay-Poètes, 104, rue Jules-Châtenay 93380 Pierrefitte-sur-Seine.
Autre rendez-vous : samedi 9 avril à 19h, présentation de l'exposition lors d'un débat sur les discriminations sexistes, à la salle municipale La Guinguette, Place Jean Jaurès 93 380 Pierrefitte-sur-Seine.
Entrée libre.
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Saint-Denis, 25 et 26 mars 2011
A l'occasion de la première Rencontre européenne du Théâtre de l’opprimé pour l’égalité femmes/hommes, avec Féminisme enjeux et des troupes venues d’Allemagne, d’Espagne, de Grèce, d’Italie, du Portugal et de Suède,
l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" sera présentée
- vendredi 25 mars à 14h, à La Ligne 13 (salle de concert), 12 place de la Résistance et de la Déportation (Saint-Denis).
Autre rendez-vous : samedi 26 mars à 16h, à la Maison de quartier de la Plaine : 120 avenue du Président Wilson (Saint-Denis).
Entrée libre.
Pour plus d'information, prendre contact avec la SLVie Costières
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Paris, du 19 octobre au 3 novembre 2011
A la librairie Violette and Co.
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Unieux, du 8 au 28 octobre 2011
A la médiathèque de la ville
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Saint-Denis, 1er octobre 2011
Lors de la fête de la ville
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Maisons-Alfort, 14 septembre 2011
A la Maison de la culture
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Saint-Denis, le 31 mai, de 9h à 17h
A la bourse du travail de Saint-Denis, 9/11 rue Génin.
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Paris, le 25 mai de 18h à 21h
A la Mairie du 12e arrondissement de Paris, salle des fêtes
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Saint-Denis, le 13 mai de 9h à 19h
A l'hôtel de ville de Saint-Denis, salle du conseil municipal
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Sèvres, du 10 mai au 16 mai 2001
Au foyer éducatif La Rose des vents : 24, avenue de la division Leclerc 92 310 Sèvres
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Montreuil, 5 mai 2011
A l'occasion d'un festival de théâtre-forum joué par des lycéen-ne-s de Montreuil sur l'égalité filles-garçons, la Cie Désamorces présente l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" à la Maison de l'Arbre : 9, rue François Debergue 93 100 Montreuil.
Entrée libre.
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Pierrefitte-sur-Seine, du 4 au 9 avril 2011
A l'occasion de la semaine contre les discriminations, du 4 au 8 avril 2011,
l'association "Femmes pierrefittoises" présente l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" au Centre social et culturel Maroc-Châtenay-Poètes, 104, rue Jules-Châtenay 93380 Pierrefitte-sur-Seine.
Autre rendez-vous : samedi 9 avril à 19h, présentation de l'exposition lors d'un débat sur les discriminations sexistes, à la salle municipale La Guinguette, Place Jean Jaurès 93 380 Pierrefitte-sur-Seine.
Entrée libre.
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Saint-Denis, 25 et 26 mars 2011
A l'occasion de la première Rencontre européenne du Théâtre de l’opprimé pour l’égalité femmes/hommes, avec Féminisme enjeux et des troupes venues d’Allemagne, d’Espagne, de Grèce, d’Italie, du Portugal et de Suède,
l'exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !" sera présentée
- vendredi 25 mars à 14h, à La Ligne 13 (salle de concert), 12 place de la Résistance et de la Déportation (Saint-Denis).
Autre rendez-vous : samedi 26 mars à 16h, à la Maison de quartier de la Plaine : 120 avenue du Président Wilson (Saint-Denis).
Entrée libre.
vendredi 9 septembre 2011
L'égalité, c'est pas sorcier ! à la Fête de l'Humanité
L'égalité, c'est pas sorcier ! sera à la Fête de l'Humanité du jeudi 15 au dimanche 18 septembre.
Jeudi 15, 20h, à l'Agora de l'Humanité
Féminisme, un nouvel élan ?
Avec :
- Henriette Zoughebi, présidente de L'égalité, c'est pas sorcier !,
- Sabine Salmon, présidente de Femmes Solidaires,
- Maryse Dumas de la CGT et d'autres féministes.
Vendredi 16 septembre, 16h30 : réunion du CA de l'association.
Samedi 17, 18h, stand de Femmes Solidaires
Prostitution, en finir avec le mythe du plus vieux métier du monde.
Avec :
- Carine Delahaie, rédactrice en chef de Clara Magazine,
- Hélène de Rugy, déléguée générale de l'Amicale du Nid,
- Henriette Zoughebi.
Dimanche 18, 14h, au Village du Livre
Quand le masculin ne l'emporte plus sur le féminin, les hommes et les femmes sont belles.
Avec ;
- Chahla Chafiq, écrivaine,
- Marie Desplechin, écrivaine,
- Gwenaëlle Stubbe, poète,
- Frédéric Seaux, éditeur.
Jeudi 15, 20h, à l'Agora de l'Humanité
Féminisme, un nouvel élan ?
Avec :
- Henriette Zoughebi, présidente de L'égalité, c'est pas sorcier !,
- Sabine Salmon, présidente de Femmes Solidaires,
- Maryse Dumas de la CGT et d'autres féministes.
Vendredi 16 septembre, 16h30 : réunion du CA de l'association.
Samedi 17, 18h, stand de Femmes Solidaires
Prostitution, en finir avec le mythe du plus vieux métier du monde.
Avec :
- Carine Delahaie, rédactrice en chef de Clara Magazine,
- Hélène de Rugy, déléguée générale de l'Amicale du Nid,
- Henriette Zoughebi.
Dimanche 18, 14h, au Village du Livre
Quand le masculin ne l'emporte plus sur le féminin, les hommes et les femmes sont belles.
Avec ;
- Chahla Chafiq, écrivaine,
- Marie Desplechin, écrivaine,
- Gwenaëlle Stubbe, poète,
- Frédéric Seaux, éditeur.
jeudi 7 juillet 2011
CP - Trois associations saisissent le Premier Ministre pour demander la révocation des élus condamnés pour violences sexuelles
L'AVFT, Femmes Solidaires et L'égalité, c'est pas sorcier ! demandent au Premier Ministre de prendre l’engagement que l’Etat français ne saurait tolérer que des maires condamnés pour des violences sexuelles conservent des mandats dans lesquels ils conservent aussi le pouvoir qu’ils ont détourné à des fins délictuelles.
Les maires sont en effet les premiers magistrats de leur commune, chefs de la police municipale, garants de l’ordre public, titulaires de l’autorité hiérarchique sur le personnel communal. Leurs pouvoirs sont parfois étendus à d’autres sphères : ils peuvent être présidents de conseils de discipline, de comités locaux de prévention de la délinquance,… Leur condamnation pour des violences sexuelles est incompatible avec le maintien de mandats électifs et elle est constitutive, en elle-même, d’un trouble à l’ordre public.
Les trois associations demandent que les préfets, représentants de l’Etat à l’échelle des départements, mettent en œuvre une procédure de révocation de ces élus condamnés.
AVFT - Femmes Solidaires - L'égalité, c'est pas sorcier !
Les maires sont en effet les premiers magistrats de leur commune, chefs de la police municipale, garants de l’ordre public, titulaires de l’autorité hiérarchique sur le personnel communal. Leurs pouvoirs sont parfois étendus à d’autres sphères : ils peuvent être présidents de conseils de discipline, de comités locaux de prévention de la délinquance,… Leur condamnation pour des violences sexuelles est incompatible avec le maintien de mandats électifs et elle est constitutive, en elle-même, d’un trouble à l’ordre public.
Les trois associations demandent que les préfets, représentants de l’Etat à l’échelle des départements, mettent en œuvre une procédure de révocation de ces élus condamnés.
AVFT - Femmes Solidaires - L'égalité, c'est pas sorcier !
Lettre au Premier Ministre
Paris, le 7 juillet 2011
Monsieur le Premier Ministre,
Les associations que nous représentons, sont mobilisées pour que des sanctions politiques, juridiques et administratives soient prises à l’encontre des élus condamnés pour violences sexuelles.
Nous estimons en effet que la condamnation d’un élu de la République pour des violences sexuelles est incompatible avec le maintien de mandats électifs et qu’elle est constitutive, en elle-même, d’un trouble à l’ordre public. S’agissant des maires, ceux-ci sont les premiers magistrats de leurs communes, chefs de la police municipale, garants de l’ordre public, titulaires de l’autorité hiérarchique sur le personnel communal. Leurs pouvoirs sont parfois étendus à d’autres sphères (ils peuvent être présidents de conseils de discipline, de comités locaux de prévention de la délinquance,…).
Il est de la responsabilité des préfets, représentants de l’Etat à l’échelle des départements, de mettre en œuvre une procédure de révocation de ces élus condamnés.
Nous vous demandons donc de prendre l’engagement que l’Etat français ne sahttp://www.blogger.com/img/blank.gifurait tolérer que des maires condamnés pour des violences sexuelles conservent des mandats dans lesquels ils conservent aussi le pouvoir qu’ils ont détourné à des fins délictuelles.
Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos salutations distinguées.
Marilyn Baldeck
Déléguée générale de l’AVFT
Sabine Salmon
Présidente de Femmes Solidaires
Henriette Zoughebi
Présidente de L’égalité, c’est pas sorcier !
--------
Pour prendre connaissance de la campagne menée depuis 2005 contre les violences sexuelles commises par des élus : http://www.avft.org/rubrique.php?id_rubrique=70
Monsieur le Premier Ministre,
Les associations que nous représentons, sont mobilisées pour que des sanctions politiques, juridiques et administratives soient prises à l’encontre des élus condamnés pour violences sexuelles.
Nous estimons en effet que la condamnation d’un élu de la République pour des violences sexuelles est incompatible avec le maintien de mandats électifs et qu’elle est constitutive, en elle-même, d’un trouble à l’ordre public. S’agissant des maires, ceux-ci sont les premiers magistrats de leurs communes, chefs de la police municipale, garants de l’ordre public, titulaires de l’autorité hiérarchique sur le personnel communal. Leurs pouvoirs sont parfois étendus à d’autres sphères (ils peuvent être présidents de conseils de discipline, de comités locaux de prévention de la délinquance,…).
Il est de la responsabilité des préfets, représentants de l’Etat à l’échelle des départements, de mettre en œuvre une procédure de révocation de ces élus condamnés.
Nous vous demandons donc de prendre l’engagement que l’Etat français ne sahttp://www.blogger.com/img/blank.gifurait tolérer que des maires condamnés pour des violences sexuelles conservent des mandats dans lesquels ils conservent aussi le pouvoir qu’ils ont détourné à des fins délictuelles.
Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos salutations distinguées.
Marilyn Baldeck
Déléguée générale de l’AVFT
Sabine Salmon
Présidente de Femmes Solidaires
Henriette Zoughebi
Présidente de L’égalité, c’est pas sorcier !
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Pour prendre connaissance de la campagne menée depuis 2005 contre les violences sexuelles commises par des élus : http://www.avft.org/rubrique.php?id_rubrique=70
lundi 13 juin 2011
Que les femmes soient des travailleurs comme les autres ! - Paris, 25 mai 2011
Avec les interventions de :
- Maryse Dumas, membre du Conseil économique, social et environnemental, secrétaire confédérale de la CGT de 1995 à 2009 ;
- Emmanuelle Boussard-Verrecchia, avocate spécialiste du droit social et des procès pour discriminations sexistes au travail
- Sabine Salmon, présidente de Femmes Solidaires
- Martine qui a gagné un procès contre un sénateur-maire pour agressions sexuelles,
- Carine qui a gagné un procès contre un syndicaliste pour viol et séquestration
- Chahla Chafiq, écrivaine
- Gwenaëlle Stubbe, poète
- Henriette Zoughebi, présidente de L'égalité, c'est pas sorcier !
- Maryse Dumas, membre du Conseil économique, social et environnemental, secrétaire confédérale de la CGT de 1995 à 2009 ;
- Emmanuelle Boussard-Verrecchia, avocate spécialiste du droit social et des procès pour discriminations sexistes au travail
- Sabine Salmon, présidente de Femmes Solidaires
- Martine qui a gagné un procès contre un sénateur-maire pour agressions sexuelles,
- Carine qui a gagné un procès contre un syndicaliste pour viol et séquestration
- Chahla Chafiq, écrivaine
- Gwenaëlle Stubbe, poète
- Henriette Zoughebi, présidente de L'égalité, c'est pas sorcier !
vendredi 3 juin 2011
En France, être maire, sénateur, membre d’un parti politique et condamné pour agressions sexuelles, c’est possible !
Bien avant Dominique Strauss-Kahn et Georges Tron, Jacques Mahéas, sénateur de Seine-Saint-Denis et maire de Neuilly-sur-Marne, a été accusé par une employée municipale d’agressions sexuelles. Après 6 ans de procédures et l’épuisement de tous les moyens de recours, il est définitivement reconnu coupable d’agressions sexuelles en mars 2010.
Pourtant…
Inaction du préfet de Seine-Saint-Denis
Le préfet qui a le pouvoir de saisir le Conseil des ministres pour demander la révocation d’un maire en cas de trouble à l’ordre public, n'en a rien fait. Il signifie ainsi qu’en 2011, en France, l’ordre public s’accommode fort bien de la condamnation d’un maire pour agressions sexuelles et du maintien à un délinquant sexuel des pouvoirs de premier magistrat de la commune, de chef de la police municipale et de président du comité local de lutte contre la délinquance.
Silence protecteur du parti socialiste
Le Parti socialiste auquel appartient Jacques Maheas s'accommode aussi de garder un délinquant sexuel parmi les siens, en tant que membre du parti et membre du groupe socialiste du Sénat. Le PS garde ainsi le silence face aux interpellations des associations féministes.
Dès le 8 mars 2010, l’AVFT et Femmes Solidaires, les deux associations parties civiles qui ont soutenu la victime, demandaient à Martine Aubry de se positionner sur cette affaire. Aucune réponse.
L’AVFT continue ensuite d’interpeller le PS via Gaëlle Lenfant, sa secrétaire nationale adjointe aux droits des femmes : toujours pas de réponse.
Le 6 avril 2011, lorsque le PS présente ses engagements en matière d’égalité entre les femmes et les hommes, l’AVFT repose à Benoît Hamon la question qui fâche : « Une condamnation pour agressions sexuelles d’un élu au cours de son mandat est-elle compatible avec une appartenance au PS ? ».
Benoît Hamon qui qualifie cette affaire de « parfaitement abjecte », se prononce pour l’exclusion de Jacques Mahéas du PS. Il s’engage à saisir, avec Gaëlle Lenfant, Martine Aubry et à rendre publique la décision de son parti. Pourtant, depuis ce jour-là, aucune nouvelle officielle.
Nous voulons la fin des privilèges
Le retrait de ses pouvoirs politiques à Jacques Mahéas, marquerait un pas vers la fin concrète des privilèges, notamment sexuels, dont bénéficient encore les puissants en France et que la société ne peut plus tolérer.
A l'approche des présidentielles, les partis politiques républicains doivent faire connaître aux citoyennes et aux citoyens leur position par rapport à la lutte contre les violences sexuelles et aux élus inquiétés ou condamnés pour violences sexuelles.
Écouter le témoignage de Martine qui a porté plainte contre Jacques Mahéas
L’égalité, c’est pas sorcier ! : 07 86 66 29 48
vendredi 13 mai 2011
Paris, 25 mai 2011 : rencontre-débat pour que les femmes deviennent des travailleurs comme les autres !
Débat organisé par L’égalité, c’est pas sorcier !
En partenariat avec l’Humanité
Mercredi 25 mai de 18h à 21h
à la salle des fêtes de la Mairie du 12e arr.
130 avenue Daumesnil 75012 Paris (métro Dugommier)
« C’est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c’est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète », écrivait Simone de Beauvoir en 1945. Aujourd'hui, après 30 ans de lois sur l'égalité au travail, nous pourrions ajouter que c'est l'égalité salariale et professionnelle qui garantira leur pleine autonomie.
Malgré des lois égalitaires, les femmes restent durement discriminées par les employeurs. A travail égal, le salaire des femmes est inférieur de 27% à celui des hommes. L’écart salarial est encore plus important pour les femmes les plus diplômées (32%). Même les femmes qui n’ont jamais eu d’interruption de carrière perçoivent en moyenne 17% de moins que leurs collègues.
Autrement dit, chaque année, des femmes travaillent l'équivalent de 2 à 3 mois gratuitement, comparativement à leurs collègues hommes.
Quelles améliorations législatives sont nécessaires pour empêcher cette exploitation des femmes par les entreprises ? Comment des femmes se sont saisies de la loi et ont obtenu réparation des pertes financières engendrées par les discriminations ? Comment créer une convergence entre les luttes féministes et syndicales pour que les syndicats luttent contre les discriminations sexistes aussi sérieusement que contre les discriminations racistes ou syndicales ? Telles sont les questions auxquelles vous êtes invité-e-s à débattre et auxquelles les intervenant-e-s apporteront leur expertise.
Programme :
Visite de l’exposition « L’égalité, c’est pas sorcier ! » dès 18h.
18h30 : Introduction par Henriette Zoughebi, présidente de « L’égalité, c’est pas sorcier ! »
18h45 : Contraindre les entreprises à appliquer la loi : une lutte individuelle et collective.
Avec :
- Maryse Dumas, membre du Conseil économique, social et environnemental, secrétaire confédérale de la CGT de 1995 à 2009 ;
- Emmanuelle Boussard-Verrecchia, avocate spécialiste du droit social et des procès pour discriminations sexistes au travail
- Sabine Salmon, présidente de Femmes solidaires
- Une juriste de l’AVFT, association contre les violences faites aux femmes au travail (sous réserve)
20h15 : « Le masculin ne l’emporte plus sur le féminin ! »
Avec :
- Chahla Chafiq, écrivaine
- Gwenaëlle Stubbe, poète
Merci de confirmer votre participation à legalite@cpassorcier.org
En partenariat avec l’Humanité
Mercredi 25 mai de 18h à 21h
à la salle des fêtes de la Mairie du 12e arr.
130 avenue Daumesnil 75012 Paris (métro Dugommier)
« C’est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c’est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète », écrivait Simone de Beauvoir en 1945. Aujourd'hui, après 30 ans de lois sur l'égalité au travail, nous pourrions ajouter que c'est l'égalité salariale et professionnelle qui garantira leur pleine autonomie.
Malgré des lois égalitaires, les femmes restent durement discriminées par les employeurs. A travail égal, le salaire des femmes est inférieur de 27% à celui des hommes. L’écart salarial est encore plus important pour les femmes les plus diplômées (32%). Même les femmes qui n’ont jamais eu d’interruption de carrière perçoivent en moyenne 17% de moins que leurs collègues.
Autrement dit, chaque année, des femmes travaillent l'équivalent de 2 à 3 mois gratuitement, comparativement à leurs collègues hommes.
Quelles améliorations législatives sont nécessaires pour empêcher cette exploitation des femmes par les entreprises ? Comment des femmes se sont saisies de la loi et ont obtenu réparation des pertes financières engendrées par les discriminations ? Comment créer une convergence entre les luttes féministes et syndicales pour que les syndicats luttent contre les discriminations sexistes aussi sérieusement que contre les discriminations racistes ou syndicales ? Telles sont les questions auxquelles vous êtes invité-e-s à débattre et auxquelles les intervenant-e-s apporteront leur expertise.
Programme :
Visite de l’exposition « L’égalité, c’est pas sorcier ! » dès 18h.
18h30 : Introduction par Henriette Zoughebi, présidente de « L’égalité, c’est pas sorcier ! »
18h45 : Contraindre les entreprises à appliquer la loi : une lutte individuelle et collective.
Avec :
- Maryse Dumas, membre du Conseil économique, social et environnemental, secrétaire confédérale de la CGT de 1995 à 2009 ;
- Emmanuelle Boussard-Verrecchia, avocate spécialiste du droit social et des procès pour discriminations sexistes au travail
- Sabine Salmon, présidente de Femmes solidaires
- Une juriste de l’AVFT, association contre les violences faites aux femmes au travail (sous réserve)
20h15 : « Le masculin ne l’emporte plus sur le féminin ! »
Avec :
- Chahla Chafiq, écrivaine
- Gwenaëlle Stubbe, poète
Merci de confirmer votre participation à legalite@cpassorcier.org
jeudi 12 mai 2011
Le masculin ne l’emporte plus sur le féminin et depuis les hommes et les femmes sont belles !
Lundi 2 mai 2011, la pétition « Que les hommes et les femmes soient belles » demandant la reconnaissance et l’application de la règle de proximité a été lancée par quatre associations : L’égalité, c’est pas sorcier !, La ligue de l’enseignement, Le Monde selon les femmes et Femmes Solidaires.
Depuis, ces associations ont été rejointes par 1600 personnes dont 26,30% d’hommes prêts à abandonner le privilège de visibilité et de dominance que la langue leur offre depuis le 18e siècle.
C’est bien la perception que les genres grammaticaux ont quelque peu à voir avec le genre assigné à chacun et chacune, qui explique les réactions de satisfaction ou de soulagement des signataires. En réponse à la pétition, Eliane, retraitée de Bayonne, écrit : « Je suis révoltée depuis l’école primaire… », Yasmina, professeure des universités au Maroc : « J'attendais ça depuis longtemps ! », Evelyne, enseignante en Belgique : « Je me sens moins seule désormais », Audrey, libraire de Saint-Etienne : « Ce débat aurait du être soulevé il y a bien longtemps, il était temps ! Merci ! ».
D’autres expriment clairement leur conviction que la langue porte des représentations sociales et sexuées. Chantal du Québec : « Le poids des mots est un poids social », Odile de Dijon : « la règle de proximité est de nature à faire évoluer les mentalités », Grégoire de Rome, enseignant : « Pour une révolution dans les consciences ! », Mona de Paris, sociologue : « Ca commence dans les pratiques linguistiques quotidiennes, et ça se poursuit partout... », Gilles de Paris, journaliste : « C'est par le Verbe que tout commence, ou peut recommencer sur un bon pied... »
Pour certains, comme Serge de Bruxelles, enseignant, et Claire de Casablanca, enseignante, la règle de proximité n’est qu’une affaire de bon sens, pour d’autres comme Yoann de Paris, traducteur, elle « ouvre de nouvelles possibilités linguistiques, littéraires. Pur et simple enrichissement. »
Si Laurence de Frasne-les-Meulières, institutrice, aimerait « bien enseigner ça à mes petits CE2 », Frédéric d’Oissel, lui aussi enseignant, décide que « désormais mes élèves n'auront plus faux quand ils (euh... elles) écriront en respectant la règle de proximité. Pas sûr que mes inspecteurs apprécient, mais bon... il va bien falloir qu'ils s'y fassent. »
Enfin, certains sont déjà passés à la pratique comme Didier de Silfiac, chômeur : « Cela fait déjà quelques années que j'applique cette règle qui me semble logique ! », ou Bruno de La Madeleine, journaliste « qui prend déjà la liberté d'utiliser cette règle ».
Pays des signataires :
9,70% des signataires vivent en France, 7,10% en Belgique, 4,20% en Suisse, 3,90% au Canada, 1,71% au Maroc et 3,30% dans 21 autres pays : Costa-Rica, Jordanie, Hongrie, Suède, Norvège, Mexique, Autriche, Corée du Sud, Brésil, Portugal, Burkina Faso, Espagne, Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, Pologne, Chili, Italie, Etats-Unis, Indonésie et Australie.
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L'égalité, c'est pas sorcier !
www.legalite.org
Tel : 07 86 66 29 48
mardi 22 mars 2011
Livre d'or de l'exposition
« Des messages simples...des messages forts ...une exposition qui bouleverse les opinions...à recommander à toutes les villes et collectivités qui s'engagent dans l'éducation des jeunes et des moins jeunes ! » Guy Le Calonnec
vendredi 4 mars 2011
Exposition "L'égalité, c'est pas sorcier !"
Avec le soutien du Conseil général du Val-de-Marne et de la Ligue de l’enseignement, et en collaboration avec les Nouveaux Messagers, l’association « L’égalité, c’est pas sorcier ! » a réalisé une exposition à l’occasion du 8 mars 2011.
Pour en savoir plus, télécharger la présentation et le bon de commande ici !
Dates d'inauguration de l'exposition :
- 8 mars, 17h30 : Mairie de Villeneuve-Saint-Georges - Place Pierre Sémard 94190 Villeneuve-Saint-Georges
- 8 mars, 18h : Mairie de Bagnolet - 8 Rue Charles Graindorge 93 170 Bagnolet
- 8 mars, 19h : 16 Rue du Maréchal de Lattre de Tassigny 93330 Neuilly-sur-Marne
- 8 mars : l'Humanité consacre une partie importante de ses pages à l'exposition.
L'égalité, c'est pas sorcier ! à Villeneuve-Saint-Georges
Pour en savoir plus, télécharger la présentation et le bon de commande ici !
Dates d'inauguration de l'exposition :
- 8 mars, 17h30 : Mairie de Villeneuve-Saint-Georges - Place Pierre Sémard 94190 Villeneuve-Saint-Georges
- 8 mars, 18h : Mairie de Bagnolet - 8 Rue Charles Graindorge 93 170 Bagnolet
- 8 mars, 19h : 16 Rue du Maréchal de Lattre de Tassigny 93330 Neuilly-sur-Marne
- 8 mars : l'Humanité consacre une partie importante de ses pages à l'exposition.
L'égalité, c'est pas sorcier ! à Villeneuve-Saint-Georges
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